La santé mentale a été déclarée Grande Cause nationale 2025 par le gouvernement. Si une meilleure prise en charge de la santé mentale passe par les pouvoirs publics, il y a également urgence à informer sur le sujet afin de lever les tabous et les incompréhensions.

Nous sommes tous concernés par la santé mentale car elle est une composante de notre santé au même titre que la santé physique. Nous pouvons être en bonne ou en mauvaise santé mentale comme nous pouvons être en bonne ou en mauvaise santé physique.

Et lorsque nous sommes malades, le degré de gravité peut varier pour la maladie physique comme pour la maladie mentale. D’un petit rhume à un cancer grave pour les maladies physiques, d’un mal-être temporaire à une maladie psychiatrique grave pour les maladies mentales.

La différence est que les maladies mentales altèrent avant tout notre personnalité et nos comportements. Pour cette raison, avoir dans son entourage proche, un malade dont la santé mentale est très détériorée est particulièrement éprouvant au quotidien.

La bonne nouvelle est que d’immenses progrès médicaux ont été accomplis. Tout d’abord, dans la compréhension même de ce qu’est la santé mentale. Et puis les traitements sont depuis quelques années beaucoup plus efficaces et adaptés à chacun.

La mauvaise nouvelle est que, au global, la santé mentale s’est dégradée en particulier chez les jeunes. Le contexte géo politique, l’éco-anxiété mais aussi les confinements, la mauvaise alimentation : autant de nouveaux facteurs qui peuvent déclencher des maladies chez des personnes aux personnalités plus fragiles et sensibles. Et les moyens financiers ne sont pas suffisants.

Si le sujet vous intéresse, nous vous recommandons notre interview ci-après très éclairante. Elle contient aussi des ressources précieuses qui pourront vous guider.

Bonne lecture !

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